Je suis Hugo-Ambre, practicien en médecine Ayurvédique.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été une personne sensible, animée par un profond désir de comprendre et d’accompagner les autres.
L’Ayurvéda m’a guidé vers une harmonie durable en me permettant de mieux me comprendre.
C’est en pleine pandémie de COVID-19, dans un monde dont la santé était appauvrie, et face à mes propres interrogations sur la santé et le bien-être, que cette médecine ancestrale s’est imposée à moi.
Dès mes premières lectures des Védas, j’ai perçu la profondeur d’un savoir qui résonnait avec des questions que je portais depuis toujours. J’y ai trouvé une vision globale de l’être humain, où corps, esprit et environnement sont intimement liés. Peu à peu, les choses se sont alignées, jusqu’à ce que je prenne la décision de mettre ma carrière artistique entre parenthèses pour me consacrer pleinement à l’étude de la médecine ayurvédique.
C’est avec une profonde reconnaissance que je mentionne Carole, dont l’enseignement, imprégné de respect et d’amour pour l’Ayurveda, a renforcé ma conviction que cette médecine est bien plus qu’un ensemble de pratiques : c’est un mode de vie, une philosophie de l’harmonie dont l’efficacité est surprenante.
Bien sûr, en tant que personne occidentale, j’ai aussi pu m’interroger sur ma place au sein de cette tradition. Était-ce légitime d’exercer une médecine venue d’ailleurs ? Pouvais-je la pratiquer sans tomber dans l’appropriation culturelle ? Ces doutes se sont dissipés en réalisant l’immense respect que j’avais pour cette science et ma volonté sincère d’être un pont entre les savoirs anciens et les besoins contemporains. Mon intention n’a jamais été de me prétendre Vaidya (médecin ayurvédique en Inde), mais d’approfondir cette science avec humilité et de la transmettre avec justesse. Actuellement, je poursuis le Diplôme Fédéral Suisse en Médecine Ayurvédique, qui représente le plus haut niveau d’études en médecines alternatives d’Europe. Pour moi, l’apprentissage ne s’arrête jamais, même une fois le diplôme obtenu. Honorer l’Ayurveda, c’est continuer à l’explorer sans me contenter de mes acquis car c’est une science infinie qui révèle sans cesse de nouvelles dimensions du vivant.
Mon chemin personnel a été marqué par des épreuves, notamment des périodes d’addiction dont j’ai pu sortir grâce au temps et à l’observation, qui m’ont permis de comprendre mes biais en profondeur et de les rectifier en fonction de mes réels besoins. L’Ayurveda m’a offert une respiration nouvelle, une réconciliation avec moi-même et le monde.
J’avais envisagé des études en psychiatrie, car la santé mentale a toujours été au centre de mes préoccupations. J’ai la conviction que l’esprit et le corps s’influencent mutuellement et que la stabilité psychique est un pilier fondamental du bien-être. Finalement, j’ai trouvé en l’Ayurveda une approche encore plus complète, prenant en compte toutes les dimensions de l’être humain. Cette médecine est d’une modernité surprenante : loin de proposer des solutions universelles et standardisées, elle enseigne à chacun-e-x comment comprendre son propre corps et à adopter un mode de vie en accord avec sa nature profonde. Elle ne soigne pas des symptômes, elle soigne des êtres humains.
Loin d’être en opposition, mon passé artistique et ma pratique ayurvédique s’enrichissent mutuellement. L’art et la médecine ont en commun la quête d’harmonie et la capacité à transformer la perception du monde. Adopter l’Ayurveda, c’est voir la vie autrement, c’est apprendre à écouter son corps, à honorer son rythme naturel, à célébrer l’équilibre sous toutes ses formes.
Je me réjouis de faire votre connaissance et de vous accompagner sur ce chemin de réappropriation de votre santé et de votre vitalité. Ensemble, explorons comment retrouver la pleine puissance de votre être.
